Le samedi 14 décembre, un rendez-vous était prévu à 8h00 pour le remplacement de deux pneus arrière, avec un créneau horaire d'une heure. À 9h30, mon véhicule n'avait toujours pas été pris en charge. J'ai dû recourir à un taxi pour un rendez-vous à 9h40, puis à un second pour récupérer mon véhicule, dont la réparation accusait une heure de retard. J'ai considéré cet incident comme un cas isolé ce jour-là.
Le 8 février 2025, un rendez-vous était prévu à 11h40 pour une intervention de deux heures incluant le remplacement de deux pneus avant et un réglage du parallélisme. Mon véhicule a été déposé à 11h30, et la faisabilité du respect du créneau horaire a été vérifiée au regard de mes obligations professionnelles à 14h30. Une restitution à 13h30 m'a été confirmée. Cependant, à 12h30, le véhicule n'étant pas encore pris en charge, j'ai réitéré ma demande, recevant une nouvelle confirmation de restitution à l'heure prévue. À 13h30, l'absence d'intervention ayant été constatée, j'ai sollicité un entretien avec le chef d'atelier pour signaler ce retard. La prise en charge n'a finalement débuté qu'à 13h46, pour une restitution à 14h36, sans parallélisme effectué en raison d'un jeu dans les coupelles d'amortisseur. Le 13 décembre 2024, un réglage avait pourtant été préconisé sans que ce jeu ne soit détecté. Ces retards récurrents nécessitent une révision de la gestion des rendez-vous. Il est impératif de limiter la simultanéité des interventions afin d'assurer le respect des créneaux horaires et d'éviter les désagréments pour la clientèle.
Les rendez-vous avec plages horaires précises sont déterminants, et nos contraintes postérieures doivent être prises en compte. À défaut, l'attribution de créneaux plus larges permettrait d'éviter de telles situations.